domingo, 21 de febrero de 2010

Write to the Cuban Five in US prisons

International Committee for the Freedom of the Cuban Five


Fernando Gonzalez, Antonio Guerrero and Ramon Labañino are back from Miami.
They have been returned to the same prisons where they were before.


To write to the Cuban Five, here are their current addresses


To write to Fernando Gonzalez address the envelope as following:
Rubén Campa
# 58733-004
FCI Terre Haute
PO Box #33
Terre Haute, IN 47808


To write to Ramon Labañino address the envelope as following:
Luis Medina
# 58734-004
U.S.P. McCreary
P.O. BOX, 3000
Pine Knot, KY 42635


Antonio Guerrero
# 58741-004
USP Florence
PO BOX 7000
Florence, CO 81226


Gerardo Hernandez
# 58739-004
USP Victorville
PO BOX 5300
Adelanto, CA 92301


Rene Gonzalez
# 58738-004
FCI Marianna
P.O. Box 7007
Marianna, FL 32447




The Cuban government on Saturday accused the United States of "promoting subversion" in Cuba, and "mobilizing [dozens] of mercenaries" in Havana.

A statement made by the Cuban Ministry of Foreign Affairs ( MINREX) on the [front page] of the official Communist Party daily "Granma " said that after the migratory talks, the officials of the Department of State met with dozens of "mercenaries."
The statement said meeting with the opposition to the Cuban government is contrary to the spirit of cooperation and understanding shown by the Cuban delegates during the talks on Friday.
"With that offensive behavior to the Cuban authorities and people (...) the U.S. government shows its lack of real willingness to improve the ties with our country and to leave behind their actions of crude interference ", the statement said.
The official text accused the U.S. delegation who participated in the migration meeting of "supporting the counterrevolution and the promotion of subversion to overthrow the Revolution."
The statement said that after arriving in Havana, Craig Kelly, head of the U.S. delegation and undersecretary of state for the west hemispheric affairs, was warned by the Foreign Affairs Ministry [not to] organize a provocative event.
It accused the U.S. government of spending 20 million dollars a year to finance destabilization and subversion activities against Cuba. [Actually, it pointed out that these same groups receive part of the 20 million dollars a year from USAID that doesn't remain in Miami. :)]
The statement said "the lack of a real willingness to improve the ties with our country and to leave behind the actions of crude interference" on the part of the United States has been the greatest obstacle for the normalization of Cuba-U.S. relations.
Nevertheless, the statement reiterated "the disposition expressed by the Cuban government to hold a respectful dialogue on any issue with the Government of the United States, but always between equals, without compromising Cuban independence, sovereignty and self determination".
With the arrival of Barack Obama to the U.S. presidency, Washington resumed the migration talks with Cuba, interrupted by George W. Bush in 2003. The restoration of direct mail services is also being discussed.
Relations between the two countries were strained last December after the arrest on the island of an American citizen who distributed illegal satellite communication equipment among the opposition to the Cuban government.

Cuba condamne la rencontre entre des diplomates américains et des dissidents
AFP 20.02.10 | Le Monde
Le gouvernement de Raul Castro a accusé samedi Washington de maintenir sa "politique subversive" pour "renverser la révolution" après une rencontre jugée "provocatrice" la veille entre des opposants cubains et des diplomates américains en visite à La Havane.
"La délégation américaine a convoqué des dizaines de ses mercenaires" à la résidence du chef de la Section des intérêts américains Jonathan Farrar "montrant encore que ses priorités sont le soutien à la contre-révolution et la promotion de la subversion pour renverser la révolution plutôt que de créer un climat favorable à la solution réelle de problèmes", est-il écrit dans un communiqué du ministère cubain des Relations extérieures publié dans la presse locale.
"Le chef de la délégation américaine avait été prévenu par le ministère des Relations extérieures qu'il ne devait pas profiter de son bref séjour pour organiser un événement provocateur, éloigné de l'esprit des conversations sur les migrations", poursuit le communiqué.
"Avec cette conduite offensante à l'égard des autorités et du peuple cubain, le gouvernement américain confirme qu'il maintient en vigueur les instruments de la politique subversive contre Cuba", estime le ministère.
La délégation américaine était emmenée par le sous-secrétaire d'Etat adjoint pour l'Amérique latine Craig Kelly.
Pendant sa visite à La Havane en juillet dernier pour des discussions sur la reprise du service postal entre les deux pays, Bisa Williams, haut-fonctionnaire du département d'Etat, avait également rencontré des dissidents cubains, considérés par La Havane comme des "agents" ou des "mercenaires".
Interrogé par la presse, un responsable du département d'Etat a souligné que c'était une "procédure normale" pour les diplomates américains que de rencontrer "non seulement des membres du gouvernement, mais aussi de la société civile".
Il a exclu que cet entretien avec des dissidents puisse compliquer l'affaire du sous-traitant américain Alan Gross, détenu depuis le 4 décembre et soupçonné par Cuba d'être un "agent" des services secrets américains. Ce que réfutent les autorités américaines.
La délégation américaine avait réclamé vendredi la "libération immédiate" de M. Gross, 60 ans, employé de la firme américaine Development Alternative, sous-traitant de l'Agence américaine d'aide au développement (USAID) qui distribuait à Cuba, selon les autorités locales, des téléphones satellitaires à l'opposition.
La délégation cubaine a, quant à elle, souligné dans son communiqué avoir "abordé en profondeur (...) la demande de libération des Cinq antiterroristes cubains" incarcérés aux Etats-Unis.
Considérées comme des héros à Cuba, ces cinq personnes ont été condamnées à de lourdes peines de prison en 2001 pour des activités d'espionnage visant les anticastristes cubains de Miami.
Aucune date n'a été fixée pour une nouvelle rencontre sur les migrations. Celle de vendredi était la deuxième depuis leur reprise en juillet à New York après une interruption de six ans. Une nouvelle rencontre sur le service postal est, elle, en préparation, selon un fonctionnaire américain.
Cuba et les Etats-Unis n'ont plus de relations diplomatiques officielles depuis 1961 et Washington impose depuis 48 ans un embargo à Cuba qu'il accuse de bafouer droits et libertés.
Après une période d'accalmie à l'arrivée de Barack Obama à la Maison blanche, il y un an, de nouvelles tensions entre La Havane et Washington ont surgi avec, notamment, le coup d'Etat de l'été dernier au Honduras ayant renversé un gouvernement allié de Cuba et du Venezuela, qui mettent en cause Washington.

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